Jean-Claude Leborgne

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Téléphone : 06.21.04.43.15

E.mail : jeanclaudeleborgne4956@gmail.com



Nous remercions la quinzaine de bénévoles qui le mercredi 10 avril 2024 s’est retrouvée pour les travaux.
Chacun selon ses compétences a participé : peinture (St Claude et Porte de l’église), ménage (église et sacristie) et entretien calvaire.
Après une matinée bien occupée, chacun a pu vivre un temps convivial autour d’un pique nique partagé.
Encore merci à tous !
Fraternité St Jean Baptiste


Époque de construction : 3e quart 19e siècle
auteur(s) : Richou (architecte) – Bibard (architecte)- Guillon (entrepreneur)
historique  : Eglise reconstruite de 1861 à 1868 pour 60 000F ; elle remplace « un assemblage confus de constructions de tous âges » (PORT Célestin). Le projet remontait à 1851, reposant sur une reconstruction partielle par l’ architecte Richou (devis de 17 000 francs). En 1852, le maire, pour des raisons financières ne souhaite que des réparations. D’ après le curé, la fabrique sous l’ influence du maire et des « bourgeois », refuse de voter un emprunt l’ année suivante. L’ idée n’ est reprise qu’ en 1858 et menée par la fabrique malgré l’ opposition municipale. Sur de nouveaux plans de Bibard et un devis de 23 926 francs, l’ église est achevée en 1866 par la fabrique avec une nouvelle dépense de 29 499 francs : nef, façade et clocher. Après l’ ouragan du 13 février 1900, des réparations sont nécessaires ; la fabrique emprunte 2 000 francs. Les 3 autels sont l’ oeuvre de Chapeau et les stalles sont sorties de l’ atelier de François Moisseron.

description : L’ église en croix latine avec cloche-porche en façade, nef unique de cinq travées, transept avec chapelles, choeur de deux travées droites et abside à cinq pans. La façade parementée en tufeau avec vestibule intérieur sur toute la largeur, est à trois travées, encadrée de deux chapelles polygonales ; au centre, le portail avec son tympan non sculpté est surmonté d’ un haut gable. La flèche n’ a pas été construite. L’ ensemble des ouvertures est en arc brisé : lancettes dans la nef, à trois formes au transept et à deux formes dans le choeur. Le couvrement de voûtes bombées en tufeau est supporté par des ogives à tore et des doubleaux de section carrée. Dans l’ abside, la voûte rayonnante est à nervures multiples, supportée par des culots formant des dais, pour des statues absentes.
gros-oeuvre  : schiste ; grès ; tufeau ; moellon ; pierre de taille ; enduit
couverture (matériau) : ardoise
plan : plan en croix latine
couvrement : voûte d’ogives
couverture (type)  : toit à longs pans ; toit en pavillon ; toit conique
Source : patrimone- de-france